Edition du Dimanche 15 Mai 2011

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LE RADAR
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  AprĂšs les propos de Ben Bella

Le silence assourdissant de l’ONM
Par : Rubrique Radar 
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AprĂšs les propos diffamatoires de Ben Bella contre Boudiaf, Abane Ramdane et Hocine AĂŻt Ahmed, les AlgĂ©riens s’attendaient lĂ©gitimement Ă  une rĂ©action de la part de l’ONM, en sa qualitĂ© de gardienne de la mĂ©moire de la RĂ©volution. Mais force est de constater le silence assourdissant de l’organisation de Abadou qu’on a vu par le passĂ© s’emballer pour bien moins que cela. En attendant, cette hypothĂ©tique rĂ©action, qui risque de ne jamais avoir lieu, c’est Nasser Boudiaf, le fils de Si Tayeb El-Watani, qui est montĂ© au crĂ©neau pour dĂ©fendre la mĂ©moire de son pĂšre, ainsi que les autres personnalitĂ©s historiques algĂ©riennes insultĂ©es par Ben Bella le Marocain.

 
 
 
RADAR (Dimanche 15 Mai 2011)

Prix littéraire Mohamed-Dib
Bouziane Benachour, Maùchou Blidi et Mimi Hafida lauréats
Par : Rubrique Radar 
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Le prix littĂ©raire Mohamed-Dib, qu’organise tous les deux ans l’association La Grande maison de Tlemcen, a Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© Ă  Bouziane Benachour, MaĂąchou Blidi et Mimi Hafida, lors de l’ouverture, hier, au nouveau Palais de la culture d’Imama, du colloque international sur “Le retentissement de l’Ɠuvre de Mohamed Dib”. Le prix Mohamed-Dib, dans sa quatriĂšme et nouvelle version, a concernĂ©, outre la langue française, les deux langues nationales que sont l’arabe et le tamazight. 
Le prix Mohamed-Dib en tamazight n’a pas Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© eu Ă©gard Ă  la non-conformitĂ© des textes remis au jury avec le rĂšglement du prix en vigueur, alors que le prix en langue arabe a Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© Ă  Mlle Mimi Hafida, journaliste de Batna, pour son livre Contes des AurĂšs plus qu’il n’en faut. En langue française, la tĂąche n’était pas facile puisque les deux laurĂ©ats, en l’occurrence Bouziane Benachour et MaĂąchou Blidi, ont obtenu le premier prix ex-aequo.

 


Dilem du Dimanche 15 Mai 2011 | Vu 8816 fois


Edition du Dimanche 15 Mai 2011

Chronique

Le développement selon Benmeradi
 


L’AlgĂ©rie se donne parfois de drĂŽles de dĂ©fis. Comme celui d’acheter Djezzy ou d’ériger une usine de montage de vĂ©hicules Renault.
Crise d’inimitiĂ© algĂ©ro-Ă©gyptienne mise Ă  part, il est difficile de comprendre l’intervention confuse et bruyante de l’état et de ses institutions dans la mise en Ɠuvre d’une dĂ©cision de rachat d’un patrimoine privĂ© Ă©conomique. Difficile aussi de comprendre ce soudain acharnement Ă  vouloir faire venir Renault en AlgĂ©rie. Pourtant, comme le confirme le ministre de l’Industrie, les sous-traitants nationaux “manquent de savoir-faire et travaillent sans le respect des normes”. Il n’y a pas de sous-traitants compĂ©tents, il y a une rĂšgle des 51/49 dissuasive pour les IDE, Renault n’est pas d’accord avec l’AlgĂ©rie sur les capacitĂ©s Ă  installer, mais malgrĂ© cela, le projet avance “trĂšs bien”, dit le ministre, avec l’objectif maintenu “d’un taux d’intĂ©gration de 50%”. Et l’ambassadeur de France confirme que “les spĂ©cialistes” travaillent et que ce n’est qu’une question de temps.
C’est caractĂ©ristique des relations algĂ©ro-françaises : le partenaire “historique” prend le temps de nous accompagner dans ces efforts d’emblĂ©e infĂ©conds mais qui servent Ă  entretenir la relation. Si le temps ne nous Ă©tait pas comptĂ©, on aurait signĂ© un “pacte d’amitiĂ©â€ avec Chirac et fondĂ© un “partenariat stratĂ©gique” avec Sarkozy. Mais voilĂ , la premiĂšre fantaisie a trĂ©buchĂ© sur une loi instituant l’enseignement des “bienfaits de la colonisation” et dont l’abrogation, dans sa partie infamante, n’a pas empĂȘchĂ© la liquidation du tendre projet. Le second rendez-vous n’aura pas lieu parce que nos dirigeants, au lieu de faire voter une loi qui criminalise le colonialisme et l’abroger ensuite, en guise de rĂ©ponse du berger Ă  la bergĂšre, abrogent en permanence cette loi que les dĂ©putĂ©s “menacent” de voter.
Si une plate-forme Renault constituait un rĂ©el besoin pour l’AlgĂ©rie, que ce besoin constituait une rĂ©elle opportunitĂ© pour Renault et les conditions de sa rĂ©alisation Ă©tait rĂ©unies, ou mĂȘme simplement “rĂ©unissables”, pourquoi fallait-il en faire une affaire d’état ?
Ă  moins que, cĂŽtĂ© Nord, on ne s’emploie Ă  passer le temps jusqu’en mai 2012 — et demain sera un autre jour — et que, cĂŽtĂ© Sud, on ne s’efforce de faire oublier la rĂ©alitĂ© scandaleuse du marchĂ© automobile national. Une immense demande livrĂ©e au diktat de concessionnaires qui ne respectent aucune rĂšgle commerciale (en matiĂšre de dĂ©lais de livraison, de service aprĂšs-vente, etc.). Avec les bĂ©nĂ©fices engrangĂ©s ces derniĂšres annĂ©es par cette activitĂ©, on aurait pu dĂ©jĂ  construire plusieurs usines automobiles !
Ghoul a son autoroute qui “avance” ; Tou a son tramway qui “avance” aussi ; Benmeradi a son usine automobile qui “avance” trĂšs bien. Ă  la diffĂ©rence que les deux premiers s’étirent sur le terrain alors que le troisiĂšme s’éternise sur plan.
Ă©trange dĂ©marche d’un pouvoir qui, aprĂšs avoir lĂ©gislativement verrouillĂ© le potentiel d’investissement, veut construire de ses propres mains. Faute de pouvoir apprĂ©cier une politique de dĂ©veloppement, les AlgĂ©riens pourront contempler les talents de promoteur de leur gouvernement.
Et regarder le sous-développement du pays avancer.

M. H.
musthammouche@yahoo.fr         


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Edition du Dimanche 15 Mai 2011

Editorial

Remake ?
 


Toujours est-il que les actes terroristes deviennent assez rĂ©currents ces derniers temps, dans une rĂ©gion bien donnĂ©e, attestant, si besoin est, que des groupes terroristes s’y sont installĂ©s, probablement pour un bon bout de temps.

La recrudescence des attentats terroristes dans l’est du pays, particuliĂšrement Ă  Jijel, a de quoi inquiĂ©ter. S’agit-il d’un redĂ©ploiement stratĂ©gique de la nĂ©buleuse terroriste dans cette rĂ©gion ? Ou tout simplement une occupation d’un espace laissĂ© Ă  l’abandon par les forces de sĂ©curitĂ© ?
S’il est vrai que la menace, qui vient des frontiĂšres sud-est du pays, fait qu’une bonne partie des efforts et de l’attention des forces de sĂ©curitĂ© va vers cette rĂ©gion sensible, du moins, tant que le conflit libyen n’aura pas livrĂ© toutes ses consĂ©quences, il est Ă©galement vrai que Jijel et le littoral est, en gĂ©nĂ©ral, ont connu une certaine accalmie depuis plus d’une dĂ©cennie.
Mais le terrorisme — c’est connu — ne rate aucune occasion pour occuper les espaces qu’on lui laisse, profiter de la baisse de vigilance et, pourquoi pas, commettre des attentats spectaculaires.
Toujours est-il que les actes terroristes deviennent assez rĂ©currents ces derniers temps, dans une rĂ©gion bien donnĂ©e, attestant, si besoin est, que des groupes terroristes s’y sont installĂ©s, probablement pour un bon bout de temps. Et c’est lĂ  oĂč rĂ©side le danger. Car, il faut se rappeler que la rĂ©gion avait tant souffert des affres du terrorisme au dĂ©but des annĂ©es 1990, oĂč l’AIS rĂ©gnait en maĂźtre des lieux. Il aura fallu d’ñpres nĂ©gociations pour parvenir Ă  une trĂȘve qui sera suivie de la fameuse concorde civile, pour assister Ă  l’extinction du maquis jijelien.
Certes, quelques irrĂ©ductibles du GIA continuaient Ă  Ă©cumer dans la rĂ©gion, sans grande emprise sur le terrain, mais depuis quelques mois, l’on assiste Ă  un remake des annĂ©es 1990 oĂč les anciens du GIA, et, peut-ĂȘtre mĂȘme ceux de l’AIS, sont en train de donner un second souffle Ă  l’organisation de Droukdel, coincĂ©e en Kabylie et ne pouvant plus agir dans la capitale. 
L’ouverture du front jijelien, si elle se confirme, constitue un vĂ©ritable coup dur pour les forces de sĂ©curitĂ©, qui vont devoir passer encore des annĂ©es Ă  traquer les groupes terroristes dans le plus dense et le plus accidentĂ© maquis du pays.

 


Edition du Dimanche 15 Mai 2011

Actualité

La trithérapie introduite en 2013
Prise en charge des hépatites C et B en Algérie

Par : Farid Abdeladim


À l’instar de plusieurs maladies lourdes, les hĂ©patites C et B dĂ©vastent un grand pan de la population. Selon les statistiques de l’OMS, aujourd'hui environ 170 millions de personnes sont atteintes d'hĂ©patite C, et 350 millions d'hĂ©patite B. En termes d'incidence, ces pathologies atteignent en moyenne une personne sur douze.
Pour le cas algĂ©rien, les estimations approximatives dĂ©montrent un taux d'incidence de plus de 3% de la population, soit environ 400 000 souffrant des hĂ©patites. C’est dire l’ampleur de cette maladie qui mĂ©rite ainsi une prise en charge particuliĂšre. D’oĂč l'importante de la journĂ©e, premiĂšre du genre, d'hĂ©matologie de l'EHU d'Oran tenue jeudi dernier, en prĂ©sence d'une plĂ©iade de spĂ©cialistes en  gastroentĂ©rologie.
L’objectif Ă©tant de vulgariser les donnĂ©es acquises des expĂ©riences universelles et de sensibiliser les professionnels locaux sur la prise en charge des hĂ©patites chroniques B et C. L'accent a Ă©tĂ© mis ainsi sur les nouvelles thĂ©rapeutiques et les patients qui devraient en bĂ©nĂ©ficier.
“Notre objectif, aujourd’hui, est de se concerter sur les indications du traitement, la prise en charge thĂ©rapeutique Ă  proprement dit et notamment les nouveaux Ă©lĂ©ments d’évaluation de l'efficacitĂ© thĂ©rapeutique, en particulier le dosage qualitatif de l'antigĂšne HBS, ainsi que la charge virale permettant de dĂ©terminer Ă  temps les bons rĂ©pondeurs chez qui il faut motiver le patient Ă  poursuivre le traitement et les non rĂ©pondeurs chez qui il faut prolonger la durĂ©e du traitement Ă  un autre complĂ©mentaire”, expliquera le Pr SaĂądi Berkane, spĂ©cialiste en gastroentĂ©rologie de l'hĂŽpital de Bologhine. Dans le jargon scientifique, la nouveautĂ© consiste en le prolongement de la bithĂ©rapie Ă  la trithĂ©rapie. 
Autrement dit, soutenir les traitements dĂ©jĂ  existants, en bithĂ©rapie, Ă  savoir l'InterfĂ©ron Pegyle + Ribaverine, avec le nouveau produit Antiprotease. Cette mĂ©thode avancĂ©e, la trithĂ©rapie, prĂ©sentĂ©e lors des derniers congrĂšs internationaux, dont celui tenu rĂ©cemment Ă  Berlin, (EASL) en prĂ©sence de spĂ©cialistes algĂ©riens, devra connaĂźtre son introduction en AlgĂ©rie Ă  partir de 2013. 
C'est ce qu'a rĂ©vĂ©lĂ©, lors de la rencontre de jeudi, le Pr Tarik Assellah, issu de la diaspora algĂ©rienne Ă©tablie en France, et ayant participĂ© Ă  l'EASL. 
Pour le Pr Assellah, la trithĂ©rapie permettra, Ă  coup sĂ»r, une meilleure prise en charge des malades atteints des hĂ©patites B et C. 
Cette nouvelle mĂ©thode de traitement dĂ©jĂ  mise en expĂ©rience dans certains pays d’Europe est pronostiquĂ©e pour augmenter le taux de guĂ©rison des hĂ©patiques Ă  plus de 75%. “Oui, il est clair que plus les traitements progressent, plus la prise en charge devient meilleure”, atteste le professeur Assellah. Ceci Ă  mĂȘme d’éviter les complications chez les hĂ©patiques, et bien plus leur Ă©viter des pathologies plus graves telles que la Cirrhose ou encore le cancer du foie. 
Le problĂšme du cancer du foie, du diagnostic, qui reste tardif en AlgĂ©rie, ainsi que le problĂšme de la transplantation faisant toujours dĂ©faut, par “manque de greffon”, et dans des cas avancĂ©s, de l’absence dans notre pays des modalitĂ©s thĂ©rapeutiques, sont autant de problĂšmes qui ne prĂ©occupent pas moins les professionnels. 

 


Edition du Dimanche 15 Mai 2011

Actualité

Pourquoi Aqmi cible Jijel
Recrudescence des attentats terroristes

Par : Lynda NACER


Des observateurs s’accordent Ă  dire que ces attentats sont plus ou moins liĂ©s Ă  l’instabilitĂ© de la situation politique et sĂ©curitaire en Libye, d’autres se demandent s’il ne s’agit pas d’un relĂąchement des services de sĂ©curitĂ©,
favorisé par la relative accalmie ces derniers mois dans la région est.

L’attentat meurtrier perpĂ©trĂ©, Ă  l’aube de vendredi, Ă  Tizrarene dans la wilaya de Jijel, a coĂ»tĂ© la vie Ă  7 militaires. Cette attaque, qui a visĂ© pour la deuxiĂšme fois en une semaine une cible bien prĂ©cise, Ă  savoir les forces de l’ANP, suscite beaucoup de questionnements. Comment ? Qui ? et surtout, pourquoi maintenant ? Selon des sources concordantes, un groupe terroriste affiliĂ© Ă  Aqmi, dont le nombre est estimĂ© Ă  une dizaine d’élĂ©ments, a profitĂ© de l’obscuritĂ© pour se faufiler jusqu’au poste avancĂ© de l’ANP. Lourdement armĂ©s, ils ont utilisĂ©, dans un premier temps, des lance-roquettes pour faire le plus de victimes possible, avant l’accrochage oĂč ils ont utilisĂ© des grenades et des armes automatiques. Ce qui nous ramĂšne Ă  dire que l’attaque a Ă©tĂ© planifiĂ©e et organisĂ©e sur la base de renseignements fournis par une complicitĂ© trĂšs au fait des mouvements et des habitudes des services de sĂ©curitĂ©, parmi lesquels 7 d’entre eux seront tuĂ©s sur le coup et deux autres griĂšvement blessĂ©s. Un bilan qui, aujourd’hui, est portĂ© Ă  12 morts puisqu’il s’agit du deuxiĂšme attentat en une semaine. en effet, vendredi dernier, un convoi militaire a Ă©tĂ© ciblĂ© par une bombe artisanale, lors de son passage dans la localitĂ© de Faza, dans la commune d’El-Kennar. Cinq militaires appartenant Ă  la marine nationale, qui Ă©taient en route vers la commune d’El-Anceur, ont Ă©tĂ© tuĂ©s. 
Si certains observateurs s’accordent Ă  dire que ces attentats sont plus ou moins liĂ©s Ă  l’instabilitĂ© de la situation politique et sĂ©curitaire en Libye, d’autres se demandent, par ailleurs, s’il ne s’agit pas d’un relĂąchement de la part des services de sĂ©curitĂ©, favorisĂ© par la relative accalmie qui prĂ©vaut ces derniers mois dans la rĂ©gion est du pays, Jijel notamment. Cette derniĂšre, oĂč l’on constate un regain assez significatif des attentats lorsqu’on sait que, dans cette rĂ©gion, 100 terroristes au moins sont toujours en activitĂ©. Ces derniers sont, pour rappel, scindĂ©s en trois groupes autonomes, Ă  savoir katibat El-Mourabitine, katibat Ibad Errahmane et la plus importante, katibat Tawhid, qui jusqu’à un passĂ© trĂšs rĂ©cent Ă©tait dirigĂ©e par lâ€™â€œĂ©mir” Lemloum, alias Abou Zakaria qui, faut-il le souligner, s’est rendu, il y a plus d’un mois, aux services de sĂ©curitĂ©. 
Enfin, avec ces deux attentats, la population de Jijel commence dĂ©jĂ  Ă  redouter l’échec de la saison estivale, dans une rĂ©gion devenue en l’espace de quelques annĂ©es, une destination trĂšs prisĂ©e par les estivants mais Ă©galement par les touristes Ă©trangers.



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Actualité
Par : Lynda NACER
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Par : Tahar BOUDJEMAA
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Par : L. OUBIRA
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Par : A. DEBBACHE
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Par : A. C.
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Par : Ali FarĂšs 
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Par : Farid Abdeladim
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Par : Meziane Rabhi 
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Par : Meziane Rabhi 
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Sport

RĂ©sultats et classement
Championnat professionnel de ligue 1 (22e journée)

CRB - USMB 1-0 
CABBA - MCO 1-0 
JSMB - USMH 0-2 
ASO - MCS 0-0 
USMA - MCA 1-2 
WAT - ASK  2-1 
USMAn - JSK 2-1 
ESS - MCEE           (reportĂ©)  
     
  Pts J 
1. ASO Chlef              44 20 
2. USM El Harrach     36 22 
3. CR Belouizdad        35 21 
4. ES SĂ©tif                  34 19 
5. MC Oran                31 22 
6. JSM BĂ©jaĂŻa             30 20 
-. MC SaĂŻda                30 21 
8. JS Kabylie              29 19 
9. MC El-Eulma         26 20 
-. USM Annaba          26 22 
11. MC Alger             25 21 
12. AS Khroub           24 22 
13. USM Alger           23 22 
14. WA Tlemcen        22 22 
15. USM Blida           21 22 
  -.  CABB ArrĂ©ridj     21 22




USMAn 2 – JSK 1
Les Canaris tombent Ă  Annaba
Par : R. S.
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La JSK s’est inclinĂ©e en dĂ©placement Ă  Annaba par deux buts Ă  un face Ă  l’Union locale et recule ainsi Ă  la huitiĂšme place du classement gĂ©nĂ©ral. Les locaux ont Ă©tĂ© les premiers Ă  se montrer dangereux et ce, dĂšs la 2’, par l’intermĂ©diaire de Bakrar, qui avait l’opportunitĂ© d’ouvrir le score, mais son tir ne trouve pas le cadre. La JSK, rĂ©plique Ă  la 17’ par l’entremise de son capitaine Douicher, qui rate lamentablement une grosse occasion de but. C’était l’une des rares occasions de ce premier half, oĂč le jeu s’est concentrĂ© beaucoup plus au milieu du terrain, avec une Ă©quipe des Canaris qui n’a pas beaucoup osĂ© devant. 
Cette hĂ©sitation, les Kabyles le payeront cher en seconde pĂ©riode. Ă  force de subir le jeu, sa dĂ©fense a fini par craquer et encaisser un premier but quelques minutes aprĂšs la reprise du jeu. En effet, l’on jouait la 51’, lorsque Amari reprend victorieusement un centre prĂ©cis de Herbache et de la tĂȘte, bat Asselah, donnant ainsi l’avantage aux siens. Quelques minutes plus tard, les Annabis se permettent le luxe de doubler la mise par Boukhlouf Ă  la 58’. 
La rĂ©action des Canaris ne se fait pas attendre et ils parviennent Ă  rĂ©duire la marque Ă  la 66’ par Nessakh. 
Ce dernier profitera d’un cafouillage dans la surface de rĂ©paration pour inscrire le but de son Ă©quipe. Les visiteurs avaient la possibilitĂ© d’égaliser, notamment par leur attaquant malgache, Amada, Ă  la 75’, mais rien ne fut acquis devant une bonne dĂ©fense annabie qui veillait au grain.
Ă  noter que ce match a Ă©tĂ© marquĂ© par l’expulsion du dĂ©fenseur central de la JSK, Sofiane Khellili (69’), pour cumul de cartons. Celui-ci va certainement manquer au prochain dĂ©placement de son Ă©quipe Ă  Alger face au CR Belouizdad.





15/05/2011
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